English translation of newspaper report:
The Town of Bécancour decided to put an end to its participation in the programme of fluoridation of drinking water. The decision was announced publicly during the last public meeting of December and reiterated by the Mayor Gaétane Désilets, Monday, during the public meeting of January of the town council.
The Council Decision was unanimous and had been the object of many requests on behalf of citizens, announces Mrs. Désilets.
The council considered the question of fluorine, in December, at the moment when it was time to renew its reserves of the product which was used in its network of aqueduct since 1989.
Mrs. Désilets explains that the members of the council, among whom parents of young children are, tried hard to make it tower of the question by becoming acquainted with the documents provided by the regional management of the ministry for Health and the Social service and by the Coalition Water help!.
The council was challenged by information, explains Mrs. Désilets. “Why is fluorer 100% of the drinking water when only 1% drunk or used in the food? ”, she says. “One makes use of it more to wash or sprinkle”, she puts forward.
“That aggravates us”, she says.
The Coalition trifluvienne for a very healthy water is delighted by the decision of the Town of Bécancour.
This news arrives whereas a petition petition was put online on the site of the National Assembly by the Coalition, on December 21st…
Ooriginal article in French:
(Bécancour) La Ville de Bécancour a décidé de mettre fin à sa participation au programme de fluoration de l’eau potable. La décision a été annoncée publiquement lors de la dernière réunion publique du mois de décembre et réitérée par la mairesse Gaétane Désilets, lundi, lors de la réunion publique de janvier du conseil municipal.
La décision du conseil a été unanime et avait fait l’objet de nombreuses demandes de la part de citoyens, signale Mme Désilets.
Le conseil s’est penché sur la question du fluor, en décembre, au moment où il était temps de renouveler ses réserves du produit qui était utilisé dans son réseau d’aqueduc depuis 1989.
Mme Désilets explique que les membres du conseil, parmi lesquels se trouvent des parents de jeunes enfants, se sont donné la peine de faire le tour de la question en prenant connaissance des documents fournis par la direction régionale du ministère de la Santé et des Service sociaux et par la Coalition Eau secours!.
Le conseil a été interpellé par les informations, explique Mme Désilets. «Pourquoi fluorer 100 % de l’eau potable quand seulement 1 % est bu ou utilisé dans l’alimentation?», dit-elle. «On s’en sert plus pour laver ou arroser», fait-elle valoir.
«Ça nous agace», dit-elle.
«On y apprend aussi que le fluor, ça fait effet quand c’est mis directement sur le dents. Il faut se brosser les dents à la maison», plaide-t-elle.
La Coalition trifluvienne pour une eau très saine se réjouit de la décision de la Ville de Bécancour.
Cette nouvelle arrive alors qu’une pétition citoyenne a été mise en ligne sur le site de l’Assemblée nationale par la Coalition, le 21 décembre dernier.
La Coalition a déjà recueilli 1700 noms et espère en avoir beaucoup plus. La pétition demande au gouvernement du Québec d’organiser une commission parlementaire sur le dossier de la fluoration de l’eau potable afin de faire la lumière sur les aspects scientifiques, sanitaires, économiques et légaux de cette pratique, explique le porte-parole, Philippe Giroul.
La Ville de Trois-Rivières a adopté sur division (10 contre 6) une résolution, le 22 février 2012, en faveur de la reprise de la fluoration pour tous les districts. Une demi-douzaine de municipalités au Québec fluorent leur eau «et le ministère vise à ce que 50 % des municipalités le fassent», signale M. Giroul.
La Coalition demande un moratoire et estime qu’il serait «inutile, voire irresponsable, que la Ville de Trois-Rivières dilapide des fonds publics sachant que le gouvernement pourrait mettre fin à ce programme dans un proche avenir.
La Coalition signale que le ministère de la Santé et des Service sociaux n’a jamais fourni, malgré plusieurs demandes de citoyens, les tests toxicologiques sur les produits employés pour fluorer l’eau.
L’organisme citoyen plaide surtout que la fluoration est un traitement médical et qu’à ce titre, ni les élus de Trois-Rivières ni le MSSS n’ont l’autorité légale d’imposer un traitement médical à la population contre son gré. «La mission de l’usine de traitement des eaux est de traiter l’eau pour la rendre potable et non de traiter les personnes contre des maladies», fait valoir la Coalition.
Il se fait de la fluoration de l’eau au Québec depuis 1955. Une quarantaine de municipalités ont fluoré l’eau, soit 7 % de la population au Québec. Selon la Coalition Eau secours!, plus que sept municipalités y participent, mais il faut tenir compte, dans ce nombre, des fusions municipales.
– Windsor
– Dorval/Pointe-Claire (Dorval, Pointe-Claire, Beaconsfield, Baie d’Urfé, Kirkland, Sainte-Anne-de-Bellevue, Dollard-des-Ormeaux)
– Fermont
– Lévis (Montmagny, Saint-David, Saint-Romuald, Saint-Jean-Chrysostome)
– Châteauguay (Châteauguay, Mercier, Saint-Paul-de-Châteauguay, Saint-Urbain, Sainte-Martine)
– Farnham (Farnham, Village Saint-Ange-Gardien) Laprairie (Laprairie)
– Trois-Rivières
(Source: Coalition Eau secours!)