Abstract
Une enquête épidémiologique sur la fréquence du mongolisme dans quelques Etats du Midwest américain nous a permis de mettre en évidence les faits suivants:
1: un parallélisme entre la fréquence du mongolisme et la teneur en fluor de l’eau de boisson;
2: une rareté relative des caries dentaires chez les mongoliens;
3: une concentration en fluor des dents, relativement plus élevée chez les mongoliens;
4: l’apparition d’une grande fréquence de tumeurs mélaniques chez la Drosophile, sous l’action du fluor, ce qui traduit des modifications du métabolisme du tryptophane, similaires aux déviations métaboliques, génétiquement contrôlées, mises en évidence chez les mongoliens.